Selon cette théorie : les plantes qui ont une ressemblance physique avec des organes humains soignent par analogie les maladies de cet organe...
Pulmonaria officinalis : Vivace en touffe, portant des fleurs roses, puis bleus, en entonnoir au printemps au-dessus de longues feuilles elliptiques, vert moyen à taches plus pâles...
Couvre-sol d’ombre, les pulmonaires officinales sont parmi les premières à fleurir au printemps,
elles apprécient un emplacement protégé et un sol drainant.
Elles sont caduques ou presque, et le jeune feuillage est un ravissement en mai cette année...
La pulmonaire (pulmonaria officinalis) se reconnaît facilement à ses feuilles oblongues, poilues, râpeuses et tachées de blanc. Ses fleurs sont roses quand elles écloses puis deviennent violettes sous l'action de l'humidité de l'air. On peux récolter des fleurs pour faire des infusions contre la toux et récolter
les feuilles pour mettre dans la soupe...
Avait la réputation de guérir les tuberculeux, suivant la "théorie de la signature", les feuilles tachées évoquant le poumon malade. Réputation très surfaite, mais la plante figure encore sur les listes médicales.
Contient tanins, saponine, mucilage et sels minéraux.
Elle est expectorante, sudorifique, anti-inflammatoire et diurétique...
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