lundi 9 avril 2012

Elle vit de son mieux, son rêve d'opaline...










Moi je ne suis rien,
Et voilà qu'aujourd'hui...

















Je suis la gardienne,
Du sommeil de ses nuits...



















Vous pouvez détruire,
Tout ce qu'il vous plaira...


















Mais surtout pas,
Ces bourgeons là...

















Elle a gommé les chiffres,
Des horloges du quartier...











Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir

Paroles de Francis Cabrel
Ces bourgeons dont je ne connais toujours pas le nom...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je viens d'admirer les photos, et la pluie tant attendue pour certains est bien là.

J'aime beaucoup aussi "Francis Cabrel"

A ton retour, Annie