Un branchu comme un fagot qui s’évase,
Étrange aspect qui met l’oeil en extase...
Sous le ciel bleu, dans l’air mouillé,
Tout cotonneux, il n'est pas défeuillé...
Bourgeons de fils de soie de dentellière,
Une énorme et ronde fourmilière...
Branchage pour s'abriter du soleil,
Mer, soleil, pour admirer les merveilles...
Le vent en passant dans le feuillage,
Un doux bruissement parle de voyage...
2 commentaires:
Ras le bol de ce froid, cela ne donne pas envie de bosser.
Nos petits parisiens sont repartis, ils restent les lessives !!!
Biz, Annie
Et pourtant il faut bosser, moi aussi lessives ++++++ des lits et linge de La Tranche sur Mer entre les giboulées : çà sèche.
J'ai repris une paire de volets en peinture verte et aujourd'hui, on était à vider la maison de notre Père et de sa femme décédée le 16 février.
Les jours ne sont pas assez longs et comme froids.
Bisous
Françoise
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