Ces ombrelles sèches font frissonner,
Mais allons voir les épis mordorés...
Mais allons voir les épis mordorés...
Quelques tiges grelottantes,
Un futur trésor de gerbes montantes...
Sèches où en boutons de fleur,
Hiver, laisse la flore foisonner de peur...
Hiver, laisse la flore foisonner de peur...
Fleurs à cueillir dans l'herbe des prairies,
Eclos à foison, des fleurs qui rient...
Eclos à foison, des fleurs qui rient...
Douce fleur, pas de givre, pas de larme,
Au bord de tes blanches pétales...
Tiens-toi sur tes gardes, lierre d'hiver,
Tu n’est pas prêt de te vêtir en vert...
Tu n’est pas prêt de te vêtir en vert...
2 commentaires:
Je n'avais vu de "lierre rouge", tu l'as peut-être peint ?
Une branche même dénudée, tu lui trouve un texte, alors là chapeau !!
Moi, je suis un peu dure, mais l'arbre mort ne m'inspire pas, j'attends le printemps, j'ai hâte de voir de l'habillage !!
Biz, Annie
Oui au fait pourquoi est-elle rouge cette feuille de lierre, c'était pratiquement la seule dans les vignes.
Elle était là pour ma photo : c'est tout et c'est du réel.
Il n'y a que le viseur de l'appareil photo et la lumière qui peuvent aimer un arbre non mort, je précise, juste en hibernation.
Bises
Françoise
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