mercredi 18 janvier 2012

La Vigne endolorie, sous un fichu soleil d'hiver...









Alors que personne ne me voit,
La vigne me fait la fête,
En se marrant tout bas...


















En se marrant, sans sourire,
Et malgré que j'admire,
Chacun de ses rameaux se mire...
















C’est l'hiver qui enfin s'amène,

Par les tournants de la grand' route,
Comme un petit Chaperon Rouge...

 
















Concert de noeuds dessinant la terre,
Les mouvements s’enchaînent
,
Méandres alternatives, sans chaînes...
















Ce soir, ce fichu soleil d'hiver,
Une dernière courbe en haut du côteau,
Aller, au revoir et à bientôt !!!










Par chance : encore du soleil, en fin d'après-midi


C’est la saison, c’est la saison !!!
Tous les ans, tous les ans, avant la taille d'hiver,
J’essaierai d’en donner la note...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Tous les détails qui me permettent d'être attentive à un pauvre bout de bois. Ce qui m'a toujours attiré ce sont "de vieilles souches", j'en avait ramené une de mon pays, mais elle a fini par pourrir. L'été il était entouré de "capucines". Terminé.
Je pars chez le dentiste, un autre genre de "détente" !!
Bisous, Annie