Je ne sais si elle m’enseigne la musique ou la conscience...
Il n’y a pas que des coquillages broyés, sur cette plage moussante...
Je ne sais si elle est vaguement seule ou un être profond...
Elle reconstruit le jour, avec le jet de sel, et une cuillerée de mer...
Elle m’a appris, l’air, le vent incessant, l’eau et le sable...
Le tendre déploiement de la vague, qui gaspille la neige avec l’écume...
Le pouvoir paisible et bien ferme, comme un trône de pierre dans la profondeur...
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