Quand mes pieds distraits errent, sur le sable mouillé, frangé d'or de blonde coquille...
Quand la mer, dans un crachat d’écume, vient tracer des arabesques en silence...
Quand l'océan n'en a pas de pareille, on approche l'oreille et on entend mille voix...
Quand le coquillage aux lèvres de carmin, nous renvoie un bijou de sable de mer...
Quand un écho merveilleux où la nature a tout en douceur des terreurs et des charmes...
J'aurai voulu qu'ils me chantent les histoires effrayantes, des épaves englouties au coeur de l'océan...
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