Entre légende et réalité, je vous propose une boule végétale "porte bonheur"...

Le gui a la particularité de ne pas toucher terre. Il me faudra donc lever la tête pour l’apercevoir...

La propagation de cette plante considérée par les forestiers comme un véritable fléau,

est due le plus souvent aux grives et aux fauvettes à béret, qui en sont friandes...

Un druide vêtu de blanc s’enfonce dans la forêt pour y cueillir le gui sacré du chêne avec une serpe d’or.

Il le reçoit dans un drap de lin d’une blancheur immaculée

(car il ne doit pas toucher le sol afin de conserver ses pouvoirs)...

Le gui chassait les mauvais esprits, purifiait les âmes, neutralisait les poisons

et assurait la fécondité des troupeaux...

De cette légende naquit la coutume du baiser sous le gui, dès lors symbole de l’amour et du pardon...

JOYEUX NOËL à tous...

It's too beautiful !!! Ma petite Mésange bleue en action...

Simple animation d'une prise de vue en rafale

Sur le coteau pierreux, des restes d'un autre âge, sont fantastiques et sévères...

En passant devant le moulin de la Faubretière, un panorama d’exception, sur les coteaux de vignes...

La route propose également de jolis cheminements ombragés où vivent des biquettes à l'année...

Sans détour, cette cabane est mythique sur le chemin, elle ne mérite pas d'être abandonnée...

Deux petites chèvres qui appellent leur maître au secours, elles n'aiment pas ma boite à clic...

Non loin de là, on aboutit au lieu dit, en contre bas du coteaux, toujours une vue pas bénigne...

A vous! les gens, qui regardez passer dans vos villages, au bord de la rivière...

Il fait presque nuit. La maison est pauvre, mais bien close, 

Le logis est plein d'ombre et l'on sent quelque chose...

Tous ces gouffres d'ombre, où ne luit pour l'instant, aucune étoile,

Cette barque n'est qu'un bout de planche, sans un bout ni toile...

Chemin de Pierre Percée, les mille pas des gens qui passent, 

J'ai eu l'impression d'être sur la grand'route de l'espace...

Dans l'ombre, au soir tombant, où le temps se balance,

Autant que moi, tous ces gens doivent aimer le silence...

L'Ecluse fascinante de Vertou : ou regarder des vannes s'ouvrir, pour laisser passer un bateau...

Une écluse qui se referme, se remplit ou se vide pour faire sortir le bateau.

L'Ecluse de Vertou ne fait pas exception, c'est un monument historique important...

On peut observer en traversant la Chaussée des Moines, depuis le parc de la Sèvre, tous les jolis bateaux...

A bord de ces embarcations, qui activent un échange terrestre avec les communes voisines de l'autre rive...

Cette écluse fut percée en 1755  pour permettre le commerce fluvial vers Nantes,

le passage s'effectuait moyennant un péage aux moines...

L'activité portuaire a disparu, on y navigue aujourd'hui aussi sur des petits bateaux, des barques

pour remonter le cours de la Sèvre Nantaise, bien au calme...

Une petite pose sur le Pont du Chêne à Vertou, pour admirer cette magnifique

Chaussée des Moines sous un soleil d'automne très attrayant...

Le Moulin à vent du Chêne de la ville de Vertou au sud de Nantes...

Il a été construit en 1817, sur le modèle des "moulins-tours" avec une toiture

en forme conique, sur laquelle étaient fixées les ailes.

Abandonné au début du XXème siècle, Le Moulin du Chêne est aujourd'hui détérioré

et en mauvais état : on y grimpe par un escalier à partir de Moulin Gautron...

La toiture a disparue, les ailes ont été retirées et la tour a été condamnée.

Le site sur lequel il se trouve : le coteau du Chêne reste un symbole fort de l’histoire de la commune...

Ce coteau situé sur la rive opposée de celle du bourg, offre une vue imprenable sur la Sèvre Nantaise...

Et sur le monument historique de la Chaussée des Moines, qui se trouve juste en contrebas...

Il est un des seuls moulins à vent de Vertou, à avoir gardé, malgré sa détérioration, sa structure originelle...

Le Moulin du Chêne est un lieu de promenade très fréquenté par les Vertaviens,

qui restent très attachés à cet édifice...Nombreux, nous étions ce jour là !!!

Sur la rivière calme, s’étalent de très jolis reflets très colorés...

Le soleil a décidé de jouer avec les ombres et les reflets pour nous étonner...

 

Les petits bateaux prennent brusquement, une autre dimension avec reflets mordorés...

Une œuvre se construit à l'Ecluse, sur cette vaste étendue d’eau bleutée...

 

Les belles lueurs se transforment sur l’eau, comme une parade toute en beauté...

En harmonie avec les éléments ici bas, la brume s'est enfin dissipée...

Des ombres esseulées au soleil levant, parés de cristaux de givre étincelants...

Ce beau matin d’automne, mes bryophytes sont entourés de dentelle...

Instants sublimes où la nature s’éveille, comme transit et éternelle...

Sur le toit, la terre, le ciel et l'homme, en l'occurrence Moi, dans mon échelle...

Le ciel d'étain succède au ciel de cuivre : la nuit fait un pas...

Tout doucement la nuit tombe, il ne reste que des ombres...

Le soleil lentement s'enfuit, et le jour fera place à la nuit...

Tout est calme, apaisant et les oiseaux retiennent leurs chants...

C'est l'heure où toute créature s'endort, va se cacher et se taire à présent...

J'aurai dû rester jusqu'au couchant !!!

mais NON : il Neige !!!!

Des jours, où la lumière nous parvient avec une intensité particulière..

Bien sûr cette lumière dorée, ne vous est pas étrangère...

C'est le temps à La Ramée, où le silence est clair...

La rivière, les lointains, les feuillages sont vermeils...

La brume des terrains rôde autour du bétail, baigné de lumière...

Que penser de ce vieux mur qui forme le clos de ce lieu champêtre...

Les feuilles de nombril de Vénus sur un moelleux tapis de mousse,

Au bord du bois touffus de Maurice sur un vieux mur, s'émoussent...

Là, pour arrêter le temps, j’observe l'araignée qui se trémousse...

Cette araignée qui grimpe et qui se pend au brin d’herbe et de mousse...

Palissade opposée aux rayons subtils du soleil, comme un duvet qui pousse...

L'une des plus grande de sa famille : la Mésange charbonnière...

Elle vole avec grâce, et là dans mon jardin, parmi les feuillage...

Elle regarde au loin, en chantant son doux refrain dans les ramages...

Elle me fait la révérence, pour m'attendrir et me montrer son plumage...

Voici la nature, celle qui reste pure, savants oiseaux sans bavardage...