mercredi 25 mars 2015

Un vieil arbuste chenu, tout gris, tout craquant, tout tordu mais fleuri...

Outre le nettoyage surhumain, des murets en pierre, avec de l'herbe à foison...

Des insectes et des taupes, qu'il me faut déloger et tournés derrière mon dos...

Il me faut maintenant me préoccuper, du romarin qui a encore pousser très haut...

Modeste satisfaction, faute de terre, il s'étiole très couvrant au fil des ans...

Cet être multiple et rampant, dont les petites fleurs bleues fleurissent, une à une...

L’arbre survit, par cette odeur âcre et tenace, il se défend par puissante envie...

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