Près de la mer, sur le rivage, on voit passer les abeilles volages, derrière les barricades...
Le marais, bien souvent, n’apporte que des soupirs, nul ne peut résister à son charme...
C’est la liberté, qui méprise l’amour et la beauté, il s'épanche sur les flots écumeux...
Ma pensée, abandonne la terre pour percer les mystères des cieux, courant sur l’arène marine...
Mon regard poursuit les grands oiseaux du marais, qui ont cette liberté de pénétrer dans l’air...
Et puis le soir, au moment où le soleil se couche, traîne sur la mer des reflets mordorés...
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