mercredi 21 décembre 2011

Perception subtile de mon vieux coudrier...









Faute de percer son mystère,
Creuse dans l'écorce, ma petite Sittelle...

















De ce tronc, les ramures cassent,
Mais je te les laisse, ma petite Sittelle...


















Derrière ton écorce, vieux coudrier,
Se taisent des ans, se cachent mille vies...















Coudrier magnifique, couvert de mousse et de lichen,
Mes yeux devant toi, ne me suffisent pas...
















Maux de feuilles ou d’écorché vif,
Mes oiseaux y nichent pour leur vie...

















Mésange charbonnière et Verdier,
Te regardent vivre, respirer,
Vieux coudrier, tu les abritent...
















L’écorce est vive, dans ta vie d’arbre,
Écorce d'une beauté inégalable,
Composition végétale de notre vie...

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